La Poissonnerie 2015
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Le goût pour raconter des histoires a commencé tôt dans mon enfance. J’ai écrit la première à 9 ans, «Zoé la mouche», que j’ai conservée et illustrée récemment. A 11 ans je voulais devenir écrivain, et les encouragements de Michel Tournier (ma suite de «Vendredi ou la vie sauvage» avait été sélectionnée par ma classe de 6ème pour lui être envoyée) ne pouvait que me rasséréner !
J’ai écrit des nouvelles, des poèmes, passé une maîtrise de lettres en italien, écrit des histoires pour mon jeune fils et puis, ayant besoin de vie et de contact, j’ai écrit des chansons que j’interprétais. C’est lors du travail ennuyeux de mes gammes que je me suis mise à dessiner. Et le dessin est devenu alors bien plus important pour moi que l’écriture et la musique.
C’est en me formant à l’infographie et à la mise en page, avec cette possibilité de mêler texte et images, que je me suis remise à écrire, pour enfants et pour adultes. C’est alors que j’ai rencontré les éditions La Pimpante, Arles...
"C’est moi la petite" anaïsberg / Kay Werner (2014)
"L'arbre à poules" anaisberg / Kay Werner (2014)
"Le roi du cimetière" anaisberg / Kay Werner (2014)
http://www.lalibrairie.com/tous-les-livres
http://www.lapimpante.com/
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La carrière artistique de Cristian ZURITA s’est toujours démarquée dans de nombreuses expositions et concours, tant dans son pays d’origine qu’en Europe. Cristian ZURITA possède un style particulier où le rêve et l’intimité sont accentués grâce à un travail exemplaire sur la lumière et la couleur. Ses créations, nées sur un chevalet, ont été reproduites pour la scène en toiles monumentales qui allient magie, surprise et émotion.
Pour chacune de ses créations, ZURITA déploie créativité et talent, en réalisant des scénarios pittoresques qui captivent le public et l’invitent à découvrir un monde magique grâce aux jeux de lumière de sa mise en scène, donnant place au rêve et à l’imaginaire.
Ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections privées, musées et galeries, au Chili et en Europe.
Né au Chili en 1971, ZURITA débute des études artistiques en 1991 à l’école des arts de la Pontifie Université Catholique de Santiago, encadré et formé par les grands maîtres Gracia BARRIOS et José BALMES. En 1996, après avoir obtenu une licence universitaire en Art pictural, il reçoit le premier prix de la « V Biennal International d’Art » Santiago Porto-Alegre Paris. Cette reconnaissance lui permet d’être invité à la Sorbonne à Paris.
En 2001, il s’installe en Italie où il suit des études de scénographie lyrique à l’académie des Beaux Arts de Bologne avec les maîtres Enrico Manelli et Marcello Morresi. Ses études et expériences lui permettent en 2003 de réaliser le décor de « La Bohème » de G.Puccini au théâtre Comunal Alessandro Bonci de Cesena. En parallèle, il présente ses œuvres visuelles dans l’évènement « Arte fiera di Bologna » et reçoit les honneurs au concours international « Senatto della Repubblica » de Puglia en Italie. En 2006, il est finaliste du « Premio Mondatori Arte » à Milan. A cette occasion, son œuvre fera partie des promesses artistiques de l’art figuratif italien au Musée « Della Permanente » à Milan. La même année, ZURITA présente ses créations artistiques au salon « Arte Fiera de Florence » et en 2008 au Musée civique de « Split » en Croatie. En 2010, il expose à Berlin et à Genève.
Cette trajectoire et son expérience artistique lui permettront de fonder la compagnie « ESCENICA » en 2008 au Chili ; une initiative de gestion culturelle et de réalisation de mises en scènes pour des projets artistiques d’opéra, de théâtre et d’arts visuels. Son succès lui a permis d’obtenir rapidement la reconnaissance des medias, avec plus de 50.000 spectateurs.
Du chevalet à la scène
Entre 2008 et 2012, au Chili et en Italie, ZURITA a occupé les postes de Directeur artistique sur les différents projets de « ESCENICA », tels que « Opéra pour tous», une série de multiples spectacles d’opéra lyrique à Santiago et d’autres villes du pays, l’opéra multimédia « Don Pasquale », l’opéra-comique « La Serva Padrona » , l’opéra baroque «Le triomphe de l’honneur» en partenariat avec l’Université Andres Bello ; ainsi que de nombreux galas lyriques avec les meilleurs chanteurs du Chili et le développement scénographique de l’Opéra contemporain « Renca Paris et liendres » de l’Université du Chili, récompensé par le prix de la critique « Altazor 2013 » comme le meilleur montage lyrique, catégorie Opéra moderne.
Pour chacune de ses créations, ZURITA déploie créativité et talent, en réalisant des scénarios pittoresques qui captivent le public et l’invitent à découvrir un monde magique grâce aux jeux de lumière de sa mise en scène, donnant place au rêve et à l’imaginaire.
Ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections privées, musées et galeries, au Chili et en Europe.
'bienvenue au jardin des présents' & 'noche en la ciutad azul'
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Mais qui est Benjammind ?
Autodidacte résolu, il pousse son inspiration à toute épreuve vers les grands ravins dans lesquels il se précipite. Emule de Gaston Lagaffe, qui a nourri son enfance alors qu'il était un cancre fatigué, il en a rempli son Âne à nasses de souvenirs merveilleux, hélas non approuvés par l'éducation nationale, encore moins par la police municipale...
Espagnol-breton de naissance et mérovingien de surcroît, plumé aux idées noires et toujours aboyant (à l'encre de chine), il a frôlé la muraille… Drôle et pertinent, son esprit est critique et son envolée poétique. Mais il a besoin de gueuler sa rage sur papier.
Il possède la hargne de la création, ce qui le rend impulsif et colérique, parfois… Son abnégation maladive le pousse indirectement à une distraction phénoménale. Il est capable par exemple de s'oublier lui-même ! Sa plus grande hantise est donc de ne rien oublier, à perte de vue, ses papiers, son téléphone, ses objets trouvés par hasard dans la poche de quelqu'un d'autre, un mélange de distraction permanente ou de mise en plis. Paradoxalement, il est doté d'un entêtement au perfectionnisme absolu. Un être humain aussi tendre qu'extravagant… Entre ciel et mer, il scrute les mouvements curieux de notre planète, ce qui l'atterre et le révolte. Un artiste à fleur de peau…
Benjammind est de la race des grands.
http://benjammind.free.fr
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charles, peintre depuis 1993 et musicien depuis 1986, vit et travaille aujourd’hui au burkina faso. 'notre nombre est notre force' à La Poissonnerie s’articule autour de 4 séries :
- 'elle m’amuse' : 12 acryliques noir et blanc / bois gratté 40x60cm.
- 'descendant de slave' : 15 acryliques / sacs de ciment.
- 'roé na paga' (les garçons et les filles) : 30 personnages en fil de fer.
- 'les pagnes' : 6 huiles sur coton 110x140cm.
http://uncharles.free.fr
http://contentpourrien.free.fr
'elle m'amuse' & 'descendant de slave'
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Je vais et je viens entre création numérique et pratique classique du dessin. Entre : -Image numérique, une fois imprimée, support nouveau d’imagination pour la main. -Dessin à l’encre sur papier, une fois scanné, fenêtre et terrain de jeux numériques. Entre : -La pensée numérique : l’intégration par l’esprit des procédés numériques, apprivoisés par la main. -L’aventure manuelle où le corps s’engage, où les pulsions sont reines et le trait unique. Je souhaite brouiller les pistes, interroger le regardeur sur l’origine et non sur la nature de la suite d’images que je lui propose : saillie inconsciente ou graphisme mécanique ? Écriture automatique ou improvisation numérique ? Et quels adjectifs désignent quelle pratique ?
Dessin/design ; souris/plume ; papier/écran. La poule ou l’œuf ? Je connais la réponse mais je l’ai oubliée.
http://nicoleguidi.blogspot.fr/
'création numérique 2' & 'dessin 1'
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Françoise Sémiramoth, plasticienne / Françoise Donadieu, écrivain : deux artistes échangent et partagent leurs visions de l’homme, des hommes, à travers leurs pratiques artistiques. Françoise, du latin francus : de condition libre. Deux femmes libres s’interrogent et nous interrogent…
Dans « Histoires d’hommes », c’est la condition masculine qui est visitée…
Françoise Sémiramoth travaille la réinterprétation d’images à partir d’échos de films, de photos, et fait rejouer des scènes à ces hommes, tels qu’elle les ressent. En inscrivant la récurrence végétale à travers les planches - la luxuriance de la jungle est aussi écho de la terre d’origine - elle tisse en filigranes cette figure de l’homme ancré dans des contextes géographiques différents. En regardant l’homme de « So What ? » peut se dégager l’ombre de la jeune femme dans « Je suis comme je suis », de Prévert. Cet homme qui est homme, a-t-il le droit de se travestir ? De jouer les pépées ? Les hommes que l’on côtoie, que l’on aime, que l’on attend, que l’on pleure, que l’on ne comprend pas, que l’on cherche ... sont ici des hommes que l’on fantasme, que l’on triture.
Image et texte se complètent pour proposer un regard : l’alliance de deux visions. Que cherche « Le jeune homme et son chapeau » ? Si l’encre nous dessine un mystère, l’écriture adjacente raconte un parcours : en quelques lignes, nous nous saisissons d’une histoire parmi milles autres encore possibles. Inspirées de ce qu’elles sont, artistes, femmes, mère, amantes, sœurs : Françoise Sémiramoth et Françoise Donadieu créent. Elles posent leurs décors pour ensuite se proposer leurs visions plastiques et textuelles ...Et nous les racontent. Que voyez-vous ? Que lisez-vous ? Quels mots viennent dans votre esprit pour traduire ces hommes qui jouent, et qui sont ?
Laura Maclet
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Fondé en 2008 et animé par Xavier Vanlaere, le collectif P.P.I.M. propose à La Poissonnerie le 6ème volet du projet Hors-Série, une vision argentique de Marseille, lumineuse et onirique…
Siham Rakik, Naceira Yezza, Daniel Roch, Maria Christina Morales, Aicha Mohand, Fred Laviolette, Marion Mascle, Laurent Marcellin, Sam Poulet, Vincent Boulanger et Xavier Vanlaere.
L. Marcellin & Xavier Vanlaere
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La Poissonnerie
27, rue neuve ste catherine
13007 Marseille
du lundi au vendredi de 16h à 19h
06 13 14 68 35
https://www.facebook.com/lapoissonnerie
Opening night / samedi 19 septembre 2015 à 19h00
Daveed + Tomy & the Cougars
Scopa!
Présentation et exposition autour du projet d'édition par L'Officina et La Poissonnerie du Jeu de Scopa Marseille dessiné par Daveed. Daveed, créateur du logo de l’association, a été le 1er artiste présenté par La Poissonnerie, en septembre 2001.
L’exposition Scopa! montre 5 grands formats (56,5 x 76 cm / techniques mixtes) réalisés sur papier d’Arches, ainsi qu’une fresque sur papier kraft - la taverne de la Scopa - de 300 cm sur 250 cm.
Souscrivez dès aujourd’hui pour le jeu de Scopa / tirage limité (500 exemplaires) / 40 cartes originales plastifiés + boîtier / imprimé par La Platine à Marseille / 10€ seulement / sortie prévue le15 décembre 2015.
Anthrôpòs esti pántôn khrêmátôn métron ! (l’homme est la mesure de toutes choses), la célèbre devise attribuée à Protagoras, est le motto du Jeu de Scopa Marseille et orne le dos des cartes.
Tomy & the Cougars : punk rock & power pop
live dans la cour de 20h30 à 21h00. Don’t be late !
tomyandthecougars.bandcamp.com/
*La scopa (le balai) est un jeu de cartes italien qui se joue avec 40 cartes. C'est un des jeux de cartes les plus connus en Italie au même titre que briscola ou re bello qui se pratiquent avec les mêmes cartes. On y joue dès l’âge de 5 ans. Les 4 couleurs sont les coupes, les épées, les bâtons et les deniers. Dans chaque région ou province, les règles du jeu et le décompte des points varient. En France et en Corse, en particulier, on peut utiliser un jeu de cartes françaises que l'on réduit à 40 cartes (on enlèvera alors les 8, les 9 et les 10). En Espagne la scopa s'appelle escoba. L'Argent de la vieille (Lo scopone scientifico) est un film tragi-comique de Luigi Comencini de 1972 dans lequel une milliardaire (Bette Davis) et son majordome (Joseph Cotten) affrontent chaque année de pauvres bougres (Alberto Sordi et Silvana Mangano) en jouant à scopone, variante de la scopa.
la taverna de la scopa
fly & soundcheck
Tomy & the Cougars 'run away' / images Pierre Lamberti / sept. 2015
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Jeu de Scopa Marseille
disponible le 15 décembre 2015
La Scopa (le balai) est un jeu de cartes italien qui se joue avec 40 cartes. C'est un des jeux de cartes les plus connus en Italie. Les 4 couleurs sont les coupes, les épées, les bâtons et les deniers. En France et en Corse, en particulier, on peut utiliser un jeu de 54 cartes françaises que l'on réduit à 40 cartes (on enlèvera alors les 8, les 9 et les 10). En Espagne, la Scopa s'appelle l’Escoba.
Conception graphique originale : Daveed / tirage limité (500 exemplaires) / 40 cartes plastifiées + 2 de rechange dans boîtier / imprimé par La Platine Marseille / 1ère édition décembre 2015 / ISBN 2-915063-04-4
Le premier jeu de Scopa français !
La devise du Jeu de Scopa Marseille « Anthrôpòs esti pántôn khrêmátôn métron » (‘L’homme est la mesure de toutes choses’), est une citation attribuée à Protagoras, philosophe grec du 5ème siècle av. J-C et figure, en grec ancien, au dos des cartes du Jeu de Scopa Marseille, entrelaçant un logo hybride (L’épingle à nourrice de La Poissonnerie éperonnant le O de L’Officina !).
Une co-édition L’Officina et La Poissonnerie 29, rue neuve sainte catherine 13007 Marseille
Tél : 04 91 55 68 06 et 06 13 14 68 35
la-poissonnerie@wanadoo.fr et production@officina.fr
Samedi 10 octobre 2015 à La Poissonnerie de 14h à 20h.
Grand Tournoi de Scopone Scientifico
dans le cadre de l'exposition Scopa! par Daveed.
Inscription par joueur : 20 euros.
Tirage des équipes à la mélée
L'équipe gagnante recevra un dessin original de Daveed d'une valeur de 200 euros (un dessin par joueur).
L'équipe finaliste recevra un Jeu de Scopa Marseille par joueur
Inscrivez-vous sur Facebook ou en appelant le 06 13 14 68 35
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L’Officina & La Poissonnerie dans le cadre du Festival Dansem #18
Beau comme un jardin
du lundi 23 au vendredi 27 novembre
vernissage : 23 novembre à 18:30
Christophe Haleb et Sébastien Normand
[La Zouze] (Marseille)
Avec Beau comme un jardin, La Zouze mène des sessions d’expérimentations artistiques avec un petit groupe d’adolescents, patients en hôpital psychiatrique. Dans le jardin de l’hôpital Salvator à Marseille, ils explorent chaque semaine les notions de climats du corps, d’évolution et d’attention aux paysages pour toucher sensiblement à l’intime, dans et avec l’espace. Une action non-spectaculaire dont le travail photographique de Sébastien Normand livre un témoignage délicat.
Beau comme un jardin est un projet porté depuis septembre 2014 par La Zouze et L’Officina, avec L’Hôpital le Relais et l’Association Serena. Intervenants artistiques : Christophe HALEB, Yoann BOYER, Aude CARTOUX (danseurs et chorégraphes), Sébastien NORMAND (photographe).
« Ce projet artistique en milieu hospitalier s’est mis en place dans le cadre d’un partenariat entre l’Hôpital le Relais, l’Espace Méditerranéen de l’Adolescence, l’association Serena et L’Officina – atelier marseillais de production. Depuis septembre 2014 Christophe Haleb, Yoann Boyer et Aude Cartoux (danseurs et chorégraphes) et Sébastien Normand (photographe) mènent ainsi des sessions d’expérimentations et d’explorations avec un petit groupe d’adolescents, patients de l’hôpital psychiatrique.
L’espace Serena, dans l’hôpital Salvator de Marseille avec son jardin en mouvement conçu par Gilles Clément, permet à un petit groupe de jeunes gens de faire l’expérience d’une pratique artistique située. Le cadre de l’hospitalité que permet ce jardin et la présence des soignants est un milieu sécurisant pour trouver des chemins d’expressions subjectives à travers le mouvement dansé, la parole, le dessin, le regard.
Dans cette dynamique du dehors – dedans, nous pouvons concrètement aborder les notions de climats du corps, d’évolution et d’attention au paysage naturel, corporel, mental, imaginaire. Nous touchons sensiblement à l’espace intime, au ressourcement et à l’expression, à la dynamique des flux, à l’écriture spontanée, dans et avec l’espace.
Il s’agit ici d’une posture éthique d’intervention artistique, considérant l’autre moins comme la somme de ses symptômes que comme un citoyen en herbe, un sujet, un support d’humanité. Par la pratique de l’art, nous sommes dans une possible co-construction avec les usagers d’une relation thérapeutique.
Le travail sur l’image photographique que nous faisons cette année et qui accompagne, déplace, questionne et trace le processus fait œuvre de l’action non spectaculaire, comme celle que nous menons à l’hôpital. Il s’agit de composition d’une image, d’un cadre, d’une action en mouvement, d’un détail, d’une esthétique de la situation, de la poésie des corps qui habitent l’espace et les relations. »
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EXPOSITION / ATELIER SÉRIGRAPHIQUE
LETTRES À OLIVIER
du lundi 30 novembre au samedi 5 décembre
vernissage : lundi 30 novembre à 18:30
C’est avec une grande tristesse que nous avons fait face, au mois de juin dernier, au décès de notre graphiste et ami Olivier Bersin. Complice historique du festival, il a réalisé l’identité visuelle de 12 éditions de Dansem, dont celle de cette année. En hommage à celui que ses élèves surnommaient le poète de la typographie, L’Officina et La Poissonnerie exposent le travail de recherche graphique préalable au logo Dansem 2015, et vous proposent de créer votre propre affiche à l’occasion d’un atelier de sérigraphie animé par Nicole Crême !
Atelier de sérigraphie
Dimanche 6 décembre à 10:30, 13:30 et 15:30 durée 75' - réservation obligatoire auprès de L'Officina. Tarif : 8€ + adhésion à L'Officina (2€)
En période d'exposition, La Poissonnerie est ouverte du lundi au vendredi de 16:00 à 19:00, et toute la journée sur rendez-vous au 06 13 14 68 35.
Le programme de Dansem #18 :
http://dansem.org/
Dansem = « dansons ensemble en catalan ».
« L’idée est de proposer pour chaque nouvelle édition une création typographique originale assortie d’un espace chromatique différent. Les six lettres de D-A-N-S-E-M, sont comme autant de personnalités différentes, qui se combinent, partagent l’espace et s’animent… Elles parlent de mouvement, de vitesse, de projection, de profondeur, de souplesse… pour composer selon les supports un territoire de communication original, mouvant, vivant. »
Graphiste indépendant, Olivier Bersin a accompagné entre 2005 et 2014 l’équipe du Frac dans la définition de l’identité visuelle de plusieurs documents d’informations et outils édités par le FRAC en réalisant les programmes trimestriels, documents de visite des expositions, « carnets d’activités » pour les jeunes publics, éditions, rapport d’activités…